QUESTIONS / RÉPONSES

PHOSPHÈNES PHYSIOLOGIQUES à ne pas confondre avec
les PHOSPHÈNES PATHOLOGIQUES


• Qu’est-ce que le Mixage Phosphénique ? Principe de base.

Faire des phosphènes seuls, cela ne développe rien, ou presque, dans le domaine intellectuel. Faire des phosphènes seuls apporte une très grande détente physique et un regain d’énergie mentale.

Seul le Mixage Phosphénique stimule l’ensemble des facultés cérébrales. Mixage veut dire « mélange ».

Le Mixage Phosphénique consiste à mêler une pensée au phosphène.

Ce mélange se fait dans le temps (en conservant une pensée précise choisie à l’avance pendant la présence du phosphène), ou en même temps dans le temps et dans l’espace (en localisant l’image mentale visuelle ou auditive à l’intérieur du phosphène). Cette deuxième façon d’opérer est plus efficace.

Pour obtenir de véritables résultats concernant le développement des capacités mentales, il faut associer les phosphènes à notre travail quotidien, à notre étude ou à notre thème de réflexion.


• Quelles sont les contre-indications à la pratique ?

La seule contre-indication à la pratique des phosphènes est le glaucome, c’est-à-dire l’hypertension des liquides de l’œil, qui se traduit par de fortes douleurs dans le fond de l’œil.

Après une opération chirurgicale aux yeux (par exemple, pour une cataracte ou un décollement de la rétine), attendre entre un et deux ans. Après une opération au laser attendre six mois à un an.

L’effet sur la vue est très favorable, à condition bien sûr de respecter les conseils d’utilisation donnés.

LE GLAUCOME (document)

M.G.C.I.A., LE COURRIER MUTUALISTE. Janvier 1990. N° 68. Mutuelle Générale du Commerce, de l’Industrie et de l’Artisanat. Rubrique SANTÉ ; Article Prévenir les maladies de l’œil, page 13. Auteur : Dr P. Sabatier, ophtalmologiste à la M.G.C.I.A.

Extrait : « Le glaucome est une augmentation anormale de la tension oculaire. Le globe durcit tandis que le champ de vision diminue progressivement. Le glaucome peut conduire à la cécité par destruction du nerf optique sous l’effet d’une tension oculaire trop forte. Le glaucome chronique est même la cause numéro un de cécité. »

C’est pourquoi, passé un certain âge, tout le monde doit se prêter à l’examen. Mais certaines catégories de personnes doivent être encore plus vigilantes. Ce sont celles qui sont atteintes de diabète, myopie, hypertension artérielle et autres maladies vasculaires, ou encore les personnes ayant des antécédents familiaux. En cas de glaucome, on suivra un traitement destiné à abaisser la tension oculaire.

Les personnes atteintes de glaucome (fort) doivent s’abstenir de pratiquer les phosphènes.

La pratique s’adresse avant tout à des personnes n’ayant pas de problèmes oculaires importants.

En cas de doute, demander l’avis de votre ophtalmologiste.


• Est-il gênant d’être myope, hypermétrope ou astigmate pour appliquer la méthode ?

Non, car la quantité de lumière reçue est toujours la même et c’est cette énergie qui compte pour la pratique de la phosphéno-pédagogie.

Par contre, elle améliore certaines maladies visuelles, comme les synéchies (adhérences) entre l’iris et le cristallin, par la forte gymnastique de l’iris provoquée par l’alternance entre l’éclairage et l’obscurité. Les myopes pourront constater une amélioration significative de leur acuité.

La pratique régulière du Mixage phosphénique en pédagogie augmente l’acuité visuelle d’une dioptrie le premier mois, et ceci, quelle que soit la nature de la déficience initiale.

Les personnes qui portent des lunettes de correction constatent rapidement une amélioration de leur acuité visuelle pouvant même les amener à se passer des lunettes dans certains cas.

Le Dr Lefebure est un bel exemple de l’effet favorable de la pratique des phosphènes sur la vue. Peu de temps avant son décès, lors d’une conférence, il pouvait lire des textes à bout de bras, sans lunettes alors qu’il était âgé de 72 ans. Ceci est d’autant plus remarquable que l’on sait que passés 50 ans et plus, la presbytie s’installe. Cela démontre l’effet favorable des phosphènes sur la vue.

Des personnes très sensibles à la lumière observent également qu’avec la pratique régulière des phosphènes, leurs yeux s’adaptent mieux aux ambiances lumineuses et, qu’au bout de quelques mois, elles peuvent abandonner les lunettes de soleil.

Beaucoup de conducteurs nous ont fait l’observation qu’après quelque temps de pratique ils ne sont plus éblouis la nuit par les phares des voitures qu’ils croisent.


• Faut-il un matériel spécial pour pratiquer le Mixage phosphénique en pédagogie ?

OUI. Il est indispensable de se procurer au minimum d’une ampoule à phosphène (ampoules à lumière du jour). Ainsi, non seulement votre phosphène sera plus exploitable, mais vous ne constaterez aucune fatigue oculaire, et cela, même sur des temps de pratiques très longs comme pour les étudiants en période d’examen qui font un très grand nombre de phosphènes sur des journées entières.

Ne pas utiliser les ampoules à économie d’énergie et d’une façon générale toutes les ampoules du commerce. Seule l’ampoule à phosphènes que nous vous offrons avec votre formation a reçu l’agrément du Dr Lefebure et de son école. Cette ampoule à phosphènes, certifiée par École du Dr LEFEBURE, est utilisée depuis maintenant un peu plus de 40 ans. Nous sommes donc sûrs de son efficacité et de son innocuité.


• Que faire en cas de difficultés à l’observation et à l’accoutumance de la lumière ?

Éloigner sa lampe à phosphène ou l’incliner légèrement vers le bas afin que le faisceau de lumière éclaire un peu plus en direction du sol le temps que les yeux se renforcent.

Vivre toute l’année dans une grande métropole a pour conséquence de fragiliser la vue à la lumière naturelle. Les personnes qui vivent toute la journée dans les alpages et sont donc en contact direct avec la lumière naturelle ont une vue beaucoup plus perçante que celle des citadins.

La forte sensibilité des yeux à l’éclairage ou à la lumière du soleil extérieur, fait que de nombreuses personnes désormais portent des lunettes de soleil. Cela démontre que nous n’avons plus l’habitude d’être exposés à la lumière naturelle. En effet, nous vivons confinés en intérieur et nous manquons par conséquent des bienfaits de la lumière naturelle. Le port des lunettes de soleil accroît ce malaise et provoque une perte de lumière naturelle nécessaire pour la vue, le moral, les cycles naturels d’endormissement. Tout ceci impacte aussi sur la synthèse de la vitamine D. Il faut se réhabituer à la lumière progressivement et l’éblouissement cessera.


• Faut-il retirer lunettes et verres de contact pour la pratique avec l’ampoule à phosphène ?

Au plan pédagogique, NON.

L’éclairage est beaucoup trop faible pour avoir une incidence négative sur l’œil. Lorsque vous faites éblouir par les phares d’une voiture vous ne retirer pas vos lunettes ou vos verres de contact… Ni même sous l’éclairage d’ampoules de 75 watts ou plus dans votre domicile !


• Combien de phosphènes peut-on faire par jour avec l’ampoule à phosphène ?

Autant qu’on le souhaite. Les étudiants qui préparent leurs examens révisent leurs cours sous phosphènes pendant de longues heures (parfois jusqu’à 8 à 9 heures) dans une même journée et cela durant toute la période de révision.

Depuis plus de 40 ans que la méthode est diffusée, aucun étudiant ne s’est plaint à ce jour d’un quelconque désagrément. Ceci est corroboré par le nombre de personnes témoignant de leur satisfaction et des résultats probants obtenus par la pratique de la méthode.Ce sont donc des milliers de personnes qui, en 40 ans, ont pratiqué la méthode.


• D’où vient le mot « Phosphène » ?

L’origine du mot « phosphène » :

Le mot phosphène vient du grec phôs, lumière, et phainein qui veut dire « apparaître », mais aussi « briller ». Le mot « phène » a été créé en 1834 pour les besoins de la chimie, pour laquelle il désigne le noyau de benzène. D’où la dénomination de ses dérivés qui contiennent la même racine, le « phénol » étant le plus important. Il fut ainsi nommé parce qu’il est brillant lui aussi.

En 1838, la même racine est reprise. Le mot « phosphène » est utilisé par deux chercheurs de disciplines différentes. Le naturaliste Lelorgne de Savigny (1777-1851) l’emploie pour désigner une variété de vers-luisants, et le physiologiste Venzac pour désigner les sensations lumineuses spontanées.

Il existe 2 sortes de phosphènes :

  • les phosphènes pathologiques qui n’ont aucun intérêt et sont nuisibles à l’individu. Ce domaine précis appartient au monde de
 l’ophtalmologie qui est la branche de la médecine chargée du traitement des maladies de l’œil.
  • les phosphènes physiologiques qui permettent un développement et un épanouissement cérébral et dont le Dr Lefebure en a fait une étude durant sa vie entière.

Son livre principal « Le Mixage Phosphénique en pédagogie, développement de la mémoire, de l‘intelligence (consécutive à une plus grande possibilité d’associations d’idées), de la créativité et de l‘intuition par le mélange des pensées avec les phosphènes » dont la première édition remonte à 1964, a été complété par l‘auteur, réédité 16 fois et à ce jour vendu à plus de cent mille exemplaires (version pdf compris) pour la version française. 
Livre traduit en anglais, espagnol, portugais, italien, allemand, néerlandais etc.

Les phosphènes sont les taches multicolores qui persistent dans le champ visuel en obscurité après avoir fixé une source lumineuse pendant une trentaine de secondes. Il n‘y a aucun danger à faire des phosphènes, si on suit les recommandations du Dr LEFEBURE établies par plus de 45 années d’expériences sur des milliers de cas.

Le Dr Lefebure a complété la définition du Littré en précisant la définition du mot “ phosphène ” car avant lui, ce mot n’était utilisé principalement que dans un but médical, d’où les définitions différentes suivant les dictionnaires et les années.

Définition du mot « phosphène » : Les phosphènes sont toutes les sensations lumineuses subjectives, c‘est-à-dire toutes les sensations lumineuses qui ne sont pas DIRECTEMENT produites par un rayon électromagnétique de longueur d‘onde de la lumière. Notre définition est conforme à l‘étymologie : du grec « phos » (lumière) et « phainein » (apparaître). Elle est également conforme à la définition du dictionnaire Littré : « sensation lumineuse subjective » mais un peu plus complète.

À propos du co-phosphène, ou phosphène associé à l‘éclairage, nous expliquerons davantage le mot « directement » que nous avons introduit pour préciser la définition du Littré. Les phosphènes sont de coloris variables mais ne constituent pas une perception physique proprement dite. Ils apparaissent dans certaines conditions après la fixation d‘un éclairage ou parfois pendant cette fixation ; dans d‘autres cas, même en obscurité, sans fixation préalable d‘éclairage.


• Ma vue ne me permet pas de faire les phosphènes, que puis-je faire ?

La méthode du Dr LEFEBURE s’adresse à des personnes n’ayant PAS de problèmes spécifiques comme le glaucome. Si vous rentrez dans une autre catégorie comme une très forte déficience visuelle nous vous recommandons de prendre conseil auprès de votre médecin traitant ou de votre ophtalmologue.


• Jusqu’à quel âge peut-on faire des phosphènes ?

Tout dépend de la santé de vos yeux, vous devez demander conseil à votre médecin ou à votre ophtalmologiste.

Un jour avant sa mort, le Dr Lefebure faisait encore la démonstration qu’il pouvait lire des textes à bout de bras en petits caractères sans lunettes, preuve, s’il en était besoin, de l’incroyable effet bénéfique des phosphènes sur la santé de l’œil (à condition, bien entendu, de respecter les conseils d’utilisation.) D’ailleurs, il n’a jamais porté de lunettes de sa vie !

Par ailleurs, il n’y a pas d’âge minimum. Des kinésithérapeutes professionnels ont fait faire des phosphènes à des enfants en bas âge qui présentaient des troubles de retard psychomoteurs. D’après leurs constatations, l’énergie supplémentaire dans la masse cérébrale permet une rééducation plus rapide.

Sur des petits-enfants ne présentant pas de troubles particuliers, les phosphènes les aideront à avoir une vie plus équilibrée et plus harmonieuse ainsi qu’une meilleure réussite scolaire.


• Puis-je utiliser une ampoule du commerce pour faire des phosphènes ?

NON, il est indispensable d’utiliser l’ampoule à phosphène qui vous sera envoyée et qui est adaptée à l’application pédagogique.


• Le Mixage phosphénique en pédagogie est-il prouvé scientifiquement ?

OUI, d’une part, le Dr LEFEBURE a obtenu en son temps toutes les certifications et il n’est plus utile aujourd’hui d’en rechercher de nouvelles. Ce serait comme vouloir repasser un examen que l’on a déjà eu plusieurs fois. Ce serait ridicule et sans aucun intérêt.

D’autre part, le phosphène étant d’ordre physiologique, il repose donc forcément sur une base scientifique.


• Quels sont les liens entre la phosphéno-pédagogie et la neuropédagogie ?

La phosphéno-pédagogie est de la neuropédagogie comme l’indiquait lui-même le Dr Lefebure dès 1960 dans « Exploration du Cerveau par les phosphènes doubles, la Cervoscopie ». N’oubliez pas qu’il était médecin scolaire et il était parfaitement conscient de l’importance des difficultés scolaires. Il consacra une partie de ses recherches principales sur comment accroître les facultés d’apprentissage, de mémorisation, de dyslexie, de dysorthographie, de dyscalculie. Il fut donc un grand précurseur de la neuropédagogie, qui commence juste à refaire surface de nos jours.

Sa méthode ne repose pas sur des stimulations par des jeux divers sur la mémoire ou la logique comme c’est très souvent le cas, ni sur une organisation de la pensée et des schémas comme le mindmapping. Elle a un effet global et explicable par les découvertes récentes des neurosciences qui ne « redécouvrent » que ce qui avait déjà été offert à tous dès 1960 par le Dr Lefebure. Les neurosciences ne font que confirmer les études faites au CNRS avec le Professeur Chauchard, le Professeur Dell sur les travaux du Dr Lefebure précurseur dans le domaine de la neuropédagogie.

Laissez-moi vous expliquer brièvement :

La lumière du phosphène (les photons) produit des réactions sur le cerveau via le nerf optique. Elle accroît le potentiel électrique et les réactions électrochimiques du cerveau du fait que vous apportez un surcroît d’énergie lumineuse à ce dernier. La charge lumineuse des photons qui sont absorbés par l’œil stimule le cerveau et accroît les processus cognitifs. Cela modifie les schémas de l’ensemble du cortex (démontré par Gray Walter, un neuroscientifique en 1940). La lumière qui passe par les yeux augmente les fonctions des systèmes nerveux et endocrinien et met le corps en équilibre.

Les nouveaux néo-neurones qui naissent entre 10 000 et 30 000/ jour et les hémisphères cérébraux se synchronisent sous l’effet de la lumière. L’ensemble des zones du cerveau est donc stimulé (motrices, auditives, visuelles), et les néo-neurones sont immédiatement utilisés pour l’apprentissage.

Ces néo-neurones expliquent qu’il est nécessaire de pratiquer le mixage phosphénique quotidiennement pour créer de nouvelles connexions et synchronisations. C’est pourquoi le Dr Lefebure avait noté chez les utilisateurs des réactions immédiates du fait de la stimulation du cerveau par l’apport d’une énergie nouvelle directement via les yeux.

Il avait compris aussi qu’il était nécessaire de persévérer tout un mois. Durant un mois, vous avez synchronisé pour l’apprentissage entre 300 000 et 900 000 nouveaux neurones.

D’où les résultats observés dans différents secteurs comme la créativité, les mathématiques, etc. L’ensemble de votre cerveau est stimulé par les différentes pratiques phosphéno-pédagogiques.

C’est donc une méthode neuropédagogique qui supplante l’ensemble des méthodes, car elle est à la base même de votre épanouissement cérébral. Toutes les autres méthodes ne peuvent qu’être en second et potentialisées par le mixage phosphénique.


• Si cette méthode est diffusée depuis plus de 40 ans pourquoi n’est-elle pas plus connue ?

La méthode est diffusée depuis 1956 et cela fait plusieurs milliers de personnes qui l’ont déjà pratiquée. Le livre du Dr Lefebure « Le Mixage Phosphénique en pédagogie » a eu 16 éditions.

Avez-vous entendu parler du livre « Quand la Chine s’éveillera »?

Et est-ce que vous l’avez lu ? J’ai souvent posé cette question en conférence et bien que pratiquement tout le monde ait entendu parler de ce livre, très peu de personnes l’ont lu. Eh bien, si vous faites une petite enquête auprès de vos amis, vous trouverez PLUS de personnes qui connaissent ou ont entendu parler des travaux du Dr Lefebure que de personnes qui ont lu le livre « Quand la Chine s’éveillera » de l’ancien ministre Alain Peyrefitte.

Il y a une autre raison importante, c’est que d’une part les enfants où les adultes n’aiment pas se vanter de la technique qu’ils utilisent pour réussir leurs examens et que d’autre part, bien que les personnes qui utilisent cette méthode réussissent bien mieux dans les études et dans leur vie elles ne développent pas un sentiment d’orgueil. Disons en d’autres termes, que la pratique régulière développe une certaine forme d’humilité. C’est étrange, mais c’est ainsi.


• Combien de temps faut-il compter avant d’observer les premiers résultats ?

Par la pratique régulière des phosphènes, les connexions neurologiques existantes sont renforcées, ce qui aura pour effet d’améliorer les facultés intellectuelles dans leur ensemble.
En général, les résultats sont souvent visibles en quelques jours sur un jeune enfant, au bout de quelques semaines sur un adolescent ou un étudiant.
Pour un adulte de 40 ans qui reprend les études, il faut compter environ un mois et environ un mois et demi sur un adulte de plus d’une quarantaine d’années à raison d’une heure de Mixage Phosphénique par jour.

Sur une personne âgée, le temps d’observation des premiers résultats sera fonction de l’état des connexions neurologiques.
Dans tous les cas, même les personnes atteintes d’Alzheimer, observent une amélioration de leur faculté de mémorisation (mémoire, attention, concentration).

En résumé, comme pour l’effet d’un médicament, il faut laisser le temps au Mixage Phosphénique de faire son effet sur les facultés cérébrales. Toutefois, plus l’étudiant pourra pratiquer et plus vite se feront sentir les résultats. Le minimum étant une heure par jour.


• À la fin de mon étude et lorsque j’aurai acquis toutes les compétences pour une mise en pratique effective y aura-t-il une suite ?

NON, la formation que vous allez recevoir est complète elle fera de vous un expert. Vous recevez la même formation qu’une personne qui souhaite l’utiliser sur un plan professionnel. La seule différence c’est que cette personne a simplement souscrit un contrat d’utilisation de la méthode (méthode déposée). Ce « contrat » est une certification qui atteste que la personne a bien suivi l’ensemble de la formation et qui lui donne le droit de l’utiliser sur un plan professionnel. Si vous êtes intéressé, voir : “Comment devenir Coach Phosphéno-Pédagogue©

Les phosphènes physiologiques à ne pas confondre avec les phosphènes pathologiques.
Ne pas confondre les phosphènes pathologiques et les phosphènes physiologiques.
Les phosphènes pathologiques doivent être traités par votre ophtalmologiste.
Les phosphènes physiologiques sont naturels et seront à utiliser pour les apprentissages.